Ô feu ma terre!
Ô feu ma terre est un long poème, une traversée qui vient faire ressurgir la mémoire des sensations de l'enfance. Cette densité et cette intensité des états émotionnels traversés par l'enfant sont un point de départ à mon écriture. C'est le corps qui s'exprime, cherche à se nommer, à sortir du silence et de son isolement.
Dans ce long poème nous arpentons la fugacité, l'impermanence, le trouble d'une quête d'amour absolu et insatiable, un dialogue amoureux entre ce qui pousse dans les champs de pertes, et les ruines qui parlent encore d’amour.
Sa langue est organique, viscérale et sensuelle.
C’est l’urgence du corps à dire, qui pousse ses mots sur la page.
Partenaires des résidences d'écriture :
Nes residency Island, Octobre 2021
La factory, Maison de la poésie de Val de Reuil, Décembre 2021
La Maison de la poésie d' Amay, Juin 2022.
Ce labo de recherche poétique est une expérience unique et singulière de découvrir et faire surgir le poème qui dort en chacun.e.
Dans un échange nous faisons surgir ce qui est endormie, ce qui vous traverse, ce qui est là.
De là, je vous propose une expérience poétique et physique en m'appuyant sur les cinq sens par exemple l' odeur du pin, le toucher d'un glaçon, le son d' un orage...
Après cette exploration sensitive, je vous offre, piochée dans ma bibliothèque un poème en lecture sur mesure en écho avec l'échange de notre recherche.
Nous noterons alors les mots venus de manière intuitive et spontané tentant d'écrire un mantra poétique avec lequel vous repartirez.
.jpg)
La recherche poétique est incertaine, hasardeuse, se déploie sans qu'on la sente venir, elle surgit d'évidence en évidence pour nommer ce qui a besoin de se dire.
L' antre des sens
Labo d'expériences et d'éclosions poétiques
Catch poétique
Deux poètes-catcheurs s’affrontent sur le ring dans une partie de catch-catch poétique.
Les rounds s’enchaînent, avec des épreuves de haute voltige : lire un poème le plus vite possible, porter un poème avec le plus d’intensité sonore… Sur le ring, tous les coups sont permis.
Qui de Belladonne ou Dark Fire sera mis KO d’un mot à l’issue du combat ?
Cette performance théâtrale, loufoque et énergisante, vise à sensibiliser un vaste public aux voix diverses de la poésie contemporaine.
Le public est disposé en face d’un ring. Le spectacle alterne des moments de joutes poétiques hautement intenses et des moments où le public est invité à prendre part, à siffler, applaudir, conspuer...
La performance devient collective, cathartique, enflammée.
.jpg)
.jpg)
" Pourquoi cette détresse dans vos regards ? C'est mon impertinence qui vous perturbe ?
Vous auriez voulu me voir dévastée? Tête penchée, les yeux baissés, les épaules tombantes comme des larmes, l'âme sanglotante, affaissée ? "
Maya Angelou Toujours je me souleverai, Extrait du corpus
_edited_edited_edited.jpg)
Etats du monde
Poèmes d'amour et de révoltes
Duo de poèmes d'amour et de révoltes avec Marien Guillé et Coline Marescaux à la conception et au jeu.
Une traversée poétique à deux voix, un long poème vivant par lequel nous arpentons les méandres de notre humanité débordante.
Ici jaillissent nos cris de joies, nos appels furieux, nos étreintes amoureuses, nos espoirs inassouvis, nos pertes insoupçonnées … Sans jamais renoncer à notre désir vorace et révolté de vivre avec appétit, vulnérabilité, audace, et ouverture.
Dossier artistique
.jpg)
Toute la beauté du monde je ne peux pas te la dire, mais rien ne m'empêche d'un peu l'approcher avec toi.
Carl Norac
Comme tous les enfants
Comme tous les enfants, est un seule en scène poétique, musicale et sonore de Coline Marescaux sur un poème de Dorothée Volut.
Ce spectacle est une plongée de l'expérience
qu’ éprouve l’enfant face aux mondes des adultes.
Il y découvre ses émotions et sa relation à la solitude.
C’est une ode à l’enfance avec toute sa complexité, son intensité, et son mystère. Une traversée brute dans les mémoires inconscientes, et les souvenirs qui marquent intimement la construction d’un individu.
Il y a de l’insouciance, une spontanéité, une liberté sans égale, des rêveries et des colères.
On y redécouvre le monde de l’enfance, l’ incapacité à rejoindre le monde des adultes, et ce vertige d’être plongé si vite dans l’ inconnu d’être et de grandir face au monde.
